Dans son recueil précédent
(Comme Ophélie prenait dans l'eau sa force),
Françoise Matthey nous conduisait avec subtilité
dans la douleur d'une mort insensée, celle d'une amie,
en écho à l'héroïne shakespearienne.
Ici, c'est à travers Eurydice qu'elle nous convie à
traverser avec elle les désespoirs, les replis et les
ressacs du rapport amoureux.
Pierre Lepori
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