" Tout ça, les assiettes cassées, les portes qui claquent, les cris, les coups dans la figure, les yeux fous au milieu de la nuit, tout ça, je ne m'en souviens pas. J'étais trop mioche. Je savais tout juste marcher. C'est plus tard que j'ai appris. Quand chacun a tenu à me raconter sa vision du bonheur raté. "
Sylvain Boggio, Bas étages, Delémont, Editions d’autre part, 2007. |