Jeanlouis Cornuz
Notice biographique
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Rubrique Editeurs de Suisse
Les
Caprices
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Notice
biographique |
Jeanlouis Cornuz est
né à Lausanne en 1922. Traducteur au Tribunal
de Nuremberg en 1946, il enseignera toute sa vie, en Suisse
essentiellement, mais aussi aux Etats-Unis. Il est l'auteur
d'essais, consacrés à Michelet, Dhôtel,
Hugo et Gottfried Keller. Les Caprices est son cinquième
roman, après Le Réfractaire (1964), Parce que
c'était toi (1966), Le Professeur (1981) et Les Désastres
de la guerre (1997). Germaniste, il est aussi le traducteur
de Wiechert, Diggelmann et Keller. Engagé politiquement
à gauche, il est actuellement député
au Grand Conseil vaudois.
(quatrième de couverture, Les Caprices,
L'Age d'Homme)
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Bibliographie |
La vieille
femme, récit, Ed. du Viaduc, 1954 |
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Le Réfractaire,
roman, Ed. Rencontre, 1964 |
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Parce que c'était
toi, roman, Ed. La Baconnière, 1966 |
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Les USA à
l'heure du LSD, essai, Ed. La Baconnière, 1968 |
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Maire du XXe,
nouvelle, Ed. La Sentinelle, 1971 |
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Reconnaissance
d'Edmond Gilliard, Ed. L'Age d'Homme, 1975 |
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Portraits sans
réserves, récits, Ed. Payot, 1977 |
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La grande année
1968, oratorio, Ed. de la Thièle, 1979 |
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Le Professeur,
roman, Ed. Pierre-Marcel Favre, 1981 |
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Victor Hugo,
L'Homme des Misérables, essai, Ed. Favre, 1985 |
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Gottfried Keller,
essai, Ed. Favre, 1990 |
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Les Désastres
de la Guerre (Tome I), L'Age d'homme, Lausanne, 1994 |
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Olsommer, Jeanlouis
Cornuz, Fabienne Luisier, préf. d'Edgar Bavarel,
Ed. Les Fontaines, 1998 |
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Les Caprices,
Ed. L'Age d'Homme, 2000. |
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Le complexe
de Laïos, Ed. L'Age d'homme, 2003 |
Traduction
L'Epigramme
de Gottfried Keller, L'Age d'homme, Lausanne, 1974 |
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Les Caprices |
ISBN 2-8251-1418-9
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D'une certaine manière,
ce roman fait suite aux Désastres de la
guerre - deuxième volume d'une trilogie.
Période : de 1918
à 1945 ; de la fin de la Première
Guerre mondiale à la fin de la Seconde
- de la Deuxième, sait-on jamais !
Si le premier volume, qui
débouche sur la guerre de 14 n'était
pas gai, il faut bien avouer, hélas, que
le second l'est moins encore. Car il constitue
l'histoire d'un temps qui marche nécessairement,
inexorablement vers la guerre.
Une nouvelle génération
est née : Rolf Hohenheim, le fils de Franziska,
la "komische Gräfin", ou si l'on
préfère la "tolle Fanny",
engagé très à gauche et combattant
de la Guerre d'Espagne ; Pierre Ortloff, le fils
de Frédéric/Friedrich/Friedreich,
comme l'appelait Franziska ; Philippe Espérandieu,
le fils de Joseph, qui sera traducteur au procès
de Nuremberg et y retrouvera Wolfgang Brandt,
le fils d'Oscar, disparu à Dachau, comme
le lui avait prédit Rolf Hohenheim ; Bernard
Lejeune, fils d'Adrien Lejeune, qui combat en
Espagne et y rencontre Rolf, cependant que son
père meurt en URSS à l'âge
de huitante-huit ans...
Les Caprices, Editions L'Age
d'Homme, 2000
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Page créée
le 01.08.98
Dernière mise à jour le
11.03.04
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