Ouvrage de Jacques Darbellay primé
Le jury du Triangle de l'Amitié vient de décerner ses prix littéraires.

Le Prix littéraire 2000 du Triangle de l'Amitié

Le Prix littéraire 2000 du Triangle de l'Amitié vient d'être attribué à Jacques Darbellay pour son roman "L'Enfant de La Rosière, tableaux d'époque avec personnages et mule". L'auteur de La Fouly a été choisi parmi quinze concurrents, dont sept proviennent de la partie francophone du canton suite à un appel lancé par l'Office du tourisme de Martigny. L'ouvrage de Jacques Darbellay, paru aux Editions Monographic, à Sierre, sera disponible en librairie à partir de la mi-septembre. Les jurés d'Aoste, de Chamonix et de Martigny ont été unanimes dans leur choix portant sur un manuscrit présenté de manière anonyme. Une mention a en outre été attribuée à Parfait Jans pour son livre "Les Frères Bioulaz", édité cette année à Aoste.

Le Triange de l'Amitié

Petit rappel pour souligner que le Triange de l'Amitié a son siège dans les offices du tourisme des régions concernées, dont les directeurs, Fausto Serra pour la vallée d'Aoste, et Georges Saudan, pour Martigny, étaient présents lors de la cérémonie de proclamation des résultats le 2 septembre à Chamonix. "Ce concours littéraire a lieu tous les trois ou quatre ans. Si tout se déroule normalement, la prochaine édition se déroulera en 2003", explique Georges Saudan

Lors de la remise des prix, un hommage appuyé a été rendu au professeur martignerain Joseph Gross. Premier adjoint au maire de Chamonix, Roland Ravanel a salué l'ancien président du Triangle de l'Amitié avant de lui remettre une lithographie numérotée d'Alexandre Galperine dédicacée par Michel Charlet, maire de Chamonix. L'an dernier, Joseph Gross a publié deux volumes intitulés "Sur les chemins de la vie", rassemblant une sélection d'articles parus dans le "Confédéré" dans une mosaïque où les éclairages internationaux sont fréquents. Pour Gaby Zryd-Sauthier, présidente du jury suisse du Triangle de l'Amitié, "Joseph Gross a jeté sur les détails qu'il relate, sur les gens dont il parle, sur les lieux qu'il a visités un regard d'humaniste. Il faudrait encore préciser que ce regard d'humaniste est sans pédanterie, venant d'un homme soucieux d'établir le contact avec ses lecteurs, dans le respect d'autrui"

Charles Méroz

12.09.00