Pollueuse Tous des malins aux bâches sanglées et peaux vieillissantes, ils retournent leurs coudes sur les tables (cette envie de mettre ma tête dans une forêt). Dès que je vois un arbre coupé, j’écarte mes narines pour sentir son odeur de séché en corps blanc. Et toujours en miroir sur les routes les camions-citernes.
Emergent, Genève, Héros-Limite, 2007. |