« Nigel. L’enfant blond qui lui ravissait sa peur, qui lui rappelait un autre monde, plus à l’ouest. Il la mêlerait à la nuit, elle aussi, l’envelopperait de lueurs. Ils vivraient ensemble, s’écoutant l’un l’autre, se communiquant cette nouvelle ferveur, par la rue chinoise. La rue. L’espace qu’il faudrait briser, coûte que coûte, pour se joindre. Ces milliers d’âmes qu’ils allaient fendre, et qui les perdraient, une heure durant, dans la vie de la ville. » (Extrait)
L’Enfant de Chine, Edition Ligne d'ombre, 2010.
Page créée le 15.10.10
Dernière mise à jour le
15.10.10
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