"De Valériane", "Puberté : une école pour le rêve", "Chant d'automne", composent "Les Solitudes enchantées, Prolégomènes à la destruction d'une fleur", une vision onirique et surréelle du monde clos d'une jeune femme qui vit emmurée à l'intérieur de rêves dans lesquels l'auteur nous permet de nous attarder l'espace d'un moment.
« Valériane, mon amour, tu dois faire comme si deux oreilles étaient une seule bouche, comme si deux yeux étaient une seule main droite, - comme si les murs de ton appartement étaient recouverts de graffiti à moi, - tu dois faire semblant, suivre mes consignes ; nous serons ensemble. »
Raphaël Kalmy, Les solitudes enchantées : prolégomènes à la destruction d'une fleur, Editions Métropolis, 2000 |