|
«Il y a dans
«Le
Repentir du peintre» le miracle d'une poésie à la fois aérée,
enchantée par la beauté du monde qui s'y inscrit à touches légères,
et condensée à la manière furtive du haïku. La vie est-elle
douloureuse, le travail du deuil toujours recommencé, cela n'empêche
pas l'écriture de transmettre un bonheur élémentaire.» |