Daniel
Maggetti livre ici un premier ensemble de poèmes,
qui pourraient être autant d'
" îlots de lumière - pour reprendre
son souffle".
Antonio
Rodriguez
Après un recueil de
nouvelles en 1995, La Mort, les anges, la poussière,
et un récit en 1998, Chambre 112 (Prix Michel-Dentan
1998), Daniel Maggetti propose, sous le titre Pleins-Vents,
des poèmes réunis en une sorte de bréviaire
qui scande l'année en quatre temps. Du printemps
à l'hiver, "Marées", "Eboulis",
"Tombes" et "Frimas" sont autant
de lieux où s'inscrivent les passions et les
inquiétudes saisonnières : un rivage
océanique, le lac, les terres d'un pays rustique,
l'espace épistolaire.
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...Du printemps à l'hiver, le recueil de Daniel
Magetti donne une forme au temps qui fuit.
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Claire Jaquier
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