Le quatorzième numéro s'ouvre avec Portraits d'artistes de la photographe Martine Franck, portraits vivants, interrogateurs, qu'elle réunit pour la première fois pour la revue Trou.
Le peintre Dado dénonce la stupidité, l'atrocité, et la barbarie de certains despotes envers leur propre peuple. Une intervention marquée par la révolte et le désespoir dans les terribles collages réalisés pour Trou, suite accompagnée d'un texte d'Amarante Djuric, fille de l'artiste.
Poète, essayiste, chroniqueur d'une rare finesse, Georges Haldas n'a cessé d'interroger le genre humain. La Détresse cosmique publiée dans ces pages se nourrit aux sources de la liberté et de la dignité humaine, tout en posant des questions essentielles. Le texte a été spécialement écrit pour Trou.
Architecte de renommée mondiale, Mario Botta a toujours été tenté par la création d'objets, qu'il s'agisse d'éléments de mobilier, de montres, ou comme ici de vases, spécialement dessinés pour Trou, sur le thème d'«architecture de table» une part totalement nouvelle de son œuvre. |