"Récit hallucinant
et plein de suspense où l'on découvre le professeur
Justin Mentana (une sorte de libertin tranquille et cynique)
aux prises avec une force qui hante sa maison et y commet
un saccage progressif et méthodique propre à
mettre sa mémoire et son existence en miettes."
(Jean-Bernard Vuillème, in Le Passe-Muraille,
No 40, mars 1999)
"Olivier Gaillard dans son récit
"Judith" (L'Aire) dépasse les clichés
habituels sur l'enseignement pour poser la question de la
paternité cachée, angoisse inconsciente qui
ouvre sur l'abîme."
(Christophe Calame, in Der kleine Bund,
10 avril 1999)
"Constamment inventif, l'écrivain
multiplie les motifs, les thèmes, les pistes et les
effets littéraires; dans cette narration somme toute
multiforme, l'auteur semble remettre en question, de manière
renouvelée, les classifications du roman."
(Pierre Jaquet, in Ecriture, été
1999)
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