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Bulletin juillet-août 2011

 

www.culturactif.ch
Site Internet du Service de Presse Suisse en faveur de la création, de la diffusion et des échanges littéraires

Sommaire - juillet-août 2011

Les invités du mois
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Vahé Godel, Matthias Zschokke et Giovanni Orelli évoquent le rôle que jouent pour eux les Archives littéraires suisses, qui célèbrent leurs 20 ans cette année. Pourquoi ont-ils confié leurs archives ? Quel sens a ce don ? Que signifie l'idée de transmission ? Ils répondent aux questions d'Anne Pitteloud.


Les Livres du mois

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Reynald Freudiger, Àngeles. Ce recueil de nouvelles, deuxième parution du Vaudois Reynald Freudiger, séduit par son univers singulier. Vie et mort dansent très serrées dans ces onze monologues situés en Amérique latine. La critique est signée Elisabeth Vust.

Patrick Delachaux, Grave Panique. Ancien policier genevois, Patrick Delachaux donne par l'écriture une image revisitée, plus fragile, sociale, de son ancien métier. Dans les deux enquêtes intriquées de son dernier roman, il est question des troubles en banlieue parisienne. Elisabeth Jobin a suivi leurs dénouements et rencontré l'auteur.

Corinne Desarzens, Un roi. Ce dernier roman évoque, comme son prédecesseur, Le gris du Gabon (2009), l'inhumanité de la politique suisse d'asile. Mais il offre une échappée : le voyage en Ethiopie de la narratrice, dans lequelle elle s'engage corps et âme. Un roi fait preuve d'une construction irréprochable et l'on y retrouve la langue non convenue de l'auteure, sa joie du mot, ses ellipses et ses images insolites. Marion Rosselet en signe la critique.

Julien Burri, Beau à vomir. Dans ces quelques brefs récits tendus, Julien Burri réinterroge le problème des apparences et de la beauté, thème qu'il poursuit depuis Je mange un bœuf (2001). De fulgurantes évidences poétiques côtoient dans ce livre une provocation quelque peu convenue, selon Françoise Delorme.

Maria Rosaria Valentini, Antonia. Ce roman de la tessinoise d'adoption Maria Rosaria Valentini est composé d'une trame narrative très dense. Deux narrateurs racontent la même histoire à partir de deux points de vue différents. Cet effet choral est accentué par des images du présent et du passé et une polyphonie de personnages secondaires. Francesca Puddu nous offre sa critique.

Jérôme Meizoz, Lettres au pendu et autres écrits de la boîte noire ; Sylviane Dupuis(éd.), Adrien Pasquali, chercher sa voix entre les langues. Les écrivains Jérôme Meizoz et Adrien Pasquali ont entretenu une correspondance pendant de nombreuses années. Suite au suicide de ce dernier, Jérôme Meizoz a continué de lui écrire pour faire face à l'absence. Parallèlement à la publication de ces Lettres au pendu, Sylviane Dupuis a réuni des essais consacrés à Adrien Pasquali, où se dessinent les contours de la démarche littéraire insolite de l'auteur qui puise dans les langues (l'italien, le français) pour créer sa propre langue. La critique de ces deux livres est signée Elisabeth Jobin.

Stefanie Sourlier, Das weisse Meer. Avec ce recueil de nouvelles, Stefanie Sourlier réussit une première œuvre étonnante d'harmonie. Le ton tranquille de la narration est parcouru de fractures, autant d'échos aux nombreux accidents qui parcourent la vie des protagonistes. Beat Mazenauer nous livre sa lecture.

 

Les Inédits
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Janine Massard et Monica Cantieni nous offrent chacune un texte inédit, dans le cadre de notre partenariat avec Le Courrier.

 

Et encore...
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Les rubriques habituelles mises à jour : Manifestations , Editeurs , Auteurs. Sur www.culturactif.ch


Page créée le 14.07.11
Dernière mise à jour le 14.07.11

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