Peut-être quil y
avait un truc quallait pas, je sais pas.
Le vent avait soufflé à travers moi
déjà
Et javais regardé alors létendue
...
Le soleil qui me souriait et
ses rayons à perte de vue.
Un tempête mavait dit : « ouvre
ton esprit »
Jai rien fait du tout, javais pas compris,
Peut-être quen me le chuchotant à
loreille
Jaurais trouvé les clés du réveil,
Mais la nuit est tombée et jai perdu
mon soleil.
Jai rattrapé son sourire de justesse
Et du néant jai perçu des reflets
de tristesse,
Je nai pas retrouvé le chemin où
il dansait dans la nuit,
Je suis devenue légarée emplie
de pleurs qui sourit.
Par la suite je nai pas
su rechercher les clés,
Jai souffert en silence sans pouvoir loublier
Pensant que ma vie ne suffirait pas à leffacer,
Et pour moi le temps a cessé dexister.
Je meurs de moi-même avant de mourir de la vie,
Tendrement je repense à cette danse dans la
nuit,
Elle me consume doucement sans demander mon avis.
Je reparcours ma vie en versant
des larmes,
Jaurais dû sécher mes regrets et
prendre les armes,
Mais un « je ne sais quoi » ma soupiré
: « trop tard ! ».
Je voudrais pouvoir faire le vide dans ma tête,
Mais le souvenir de ses éclats de rire mentête,
Un soupçon de danse dans la nuit me hante,
Je voudrais un point de chute où métendre,
Car quelque chose en moi ne va pas,
Et je sais à présent que cest
Toi.
Giliane
J.
giliane01@infonie.fr
15.11.2000