Mon ange, mon apparition, mon
rêve
tu t'évaporeras au soleil qui se lève
cauchemars et sanglots m'accordent une trêve
Berce-moi dans tes bras, complicité brève
A la faveur des songes une paix
irréelle
atteint dans mon innocence, un diamant qui se fêle
fantôme de mes nuits, belle immortelle
décadence abyssale dans mon esprit intemporel
Mon or, mon cur,
mon aimée
Pourquoi je ne te vois que les yeux fermés
je pleure les désespoirs qui t'ont lacérée
mais quand je dors nos curs sont serrés
Armelle Carette
Page créée le 01.05.01
Dernière mise à jour le 01.05.01